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Friday 5 December 2025

Canvassing, e-mails, SMS : The French still as much harassed by prospecting

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Despite the regulatory measures implemented, The feeling of intrusion and excessive solicitation remains very strong. The specialist in customer relations Notify unveils a new study, who confirms that consumers demand more moderation and relevance in the contacts of brands.

It is a strong signal of the study : 45,8 % des Français estiment que le démarchage téléphonique a augmenté en 2025, soit une progression de près de 10 points par rapport à l’an dernier. However, la loi visant à encadrer les appels non sollicités est entrée en vigueur en janvier 2023. Result : distrust persists, voire s’intensifie. Seuls 18,9 % des répondants affirment avoir constaté une baisse de ces appels indésirables, tandis que 35,3 % estiment que rien n’a changé depuis l’instauration du nouveau cadre réglementaire. Pour mieux cerner cette perception, Notify a posé comme question : « Combien d’appels téléphoniques de démarchage recevez-vous, according to you, chaque jour ? » Réponses : 32,4 % estiment en recevoir entre 3 et 5 par jour, 21,7 % évoquent 1 à 2 appels quotidiens, 15,1 % parlent de plus de 6 appels. Et 30,8 % déclarent ne plus répondre du tout aux numéros inconnus, pour se préserver.

Sollicitations numériques : la fatigue s’installe

Au-delà du téléphone, l’ensemble des canaux marketing sont concernés par ce phénomène de saturation. Les Français sont exposés à plus de 1 200 messages publicitaires par jour, all formats combined. Cette avalanche de contenus a un coût psychologique : 58,2 % des répondants se disent « beaucoup trop sollicités » par les marques et 35,7 % « un peu trop sollicités ». À peine 6,1 % déclarent ne pas ressentir de pression particulière. Ce trop-plein se traduit par une vague de désabonnements : 57,6 % se désabonnent régulièrement des newsletters, notifications ou messages promotionnels ; 37 % le font rarement et 5,4 % déclarent ne jamais se désabonner.

L’e-mail plébiscité, le téléphone boudé

Tous les canaux ne sont pas logés à la même enseigne. L’e-mail reste de loin le canal préféré des Français pour recevoir des communications de marques, avec 86,4 % de répondants favorables. Il est perçu comme moins intrusif, facilement consultable et surtout contrôlable (on peut l’ignorer, le trier, ou s’en désabonner facilement). Le SMS suit, at 11,2 %, devant les notifications push (3,6 %) les wallets (2,3 %), et… le téléphone, bon dernier, à seulement 0,9 % de préférence.

Le temps perdu à gérer ces sollicitations

Entre la lecture, le tri et la suppression des messages promotionnels, les Français y consacrent un temps non négligeable de leur journée : 58,4 % déclarent passer moins de 5 minutes par jour à consulter les messages promotionnels, 23,6 % y consacrent 5 à 9 minutes, 10,9 % entre 10 et 14 minutes et 7,1 % y passent plus de 15 minutes. Des résultats semblables à ceux de 2024, qui confirment que cette pression temporelle s’installe dans les usages. Même la suppression de ces messages peut vite devenir chronophage : 30,4 % y consacrent moins de 5 minutes par jour, 34,1 % entre 5 et 9 minutes, 29,6 % entre 10 et 14 minutes et 5,9 % plus de 15 minutes. Cette tendance va-t-elle enfin s’essouffler ? À partir du 1er janvier 2026, le consentement explicite deviendra obligatoire pour tout démarchage téléphonique. Une évolution réglementaire majeure qui contraindra les marques à repenser en profondeur leurs approches et à sortir des logiques de volume.

Étude réalisée en interne par Notify : 1 153 personnes âgées de 18 ans et plus ont répondu à l’enquête, selon la méthode des quotas (sex, age, région), via un questionnaire autoadministré en ligne.

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