梅尔联盟, la ligne maritime du groupe Steinweg spécialisé dans le transport conventionnel et desservant Madagascar, 科摩罗, Mayotte et La Réunion, 进化的. Elle ajoute à sa ligne deux nouveaux ports de chargement en métropole : les ports de Rouen et de Bayonne. 而且, elle regarde de plus en plus vers l’Afrique. Les explications de Christelle GoindenFlambard, promue directrice du développement pour La Réunion et Mayotte, qui opère désormais depuis Marseille sous l’autorité du directeur général France et océan Indien, Patrick Lalanne.
Vous êtes positionnée à Marseille. Pour quelles raisons ?
Pour développer la ligne, il nous a semblé essentiel d’opérer depuis la métropole, où je suis plus proche de nos clients et des principaux décideurs, la majorité étant basée en France ou en Europe. Être à Marseille me permet de gagner en flexibilité, en réactivité et en disponibilité. Plutôt que d’effectuer régulièrement des allers-retours en avion depuis La Réunion, nous avons préféré inverser la logique : je me rends désormais deux à trois fois par an à La Réunion et à Mayotte. Ce nouveau positionnement me donne une vision d’ensemble de notre activité et me permet d’être plus efficace sur le plan commercial et dans le développement de la ligne. Je continue à gérer à distance l’équipe réunionnaise de Mer Union depuis Marseille, 等, grâce aux outils de communication actuels, cette organisation fonctionne parfaitement.
L’organisation de Mer Union change-t-elle ?
Nous conservons la même ligne, reliant l’Europe à l’océan Indien, avec un départ depuis Anvers et des escales à Toamasina (胖的), Moroni, Longoni et pointe des Galets. 另一方面, nous avons ajouté deux nouvelles escales à Rouen et à Bayonne. Nous y chargeons désormais des marchandises avant de poursuivre la route vers l’océan Indien. Cette évolution nous permet d’offrir à nos clients un port de chargement supplémentaire en métropole et de diversifier notre offre de services.
Vos fonctions ont-elles évolué ?
J’ai été promue directrice du développement de Mer Union pour La Réunion et Mayotte. 之前, en tant qu’agent de la ligne maritime, j’inter venais essentiellement sur La Réunion. Le développement de la ligne maritime à Mayotte s’ajoute à mes responsabilités.
Mer Union souhaite toujours se développer en Afrique ?
Nos bateaux passent au large des côtes d’Afrique de l’Ouest, le développement d’une activité de transport à la demande le long de la côte africaine est donc clairement un objectif. Nous travaillons avec des clients pour faire escale dans différents ports africains. Bien faire connaître la ligne et mettre en place un réseau va toutefois nous demander un peu de temps.

Le transport de déchets vers la métropole est-il toujours effectif ?
奥伊, tout à fait. Nous maintenons nos deux rotations annuelles, à raison d’une par semestre. Le prochain navire à destination du port du Havre partira de la pointe des Galets en décembre prochain. Cette activité s’inscrit dans une dynamique de croissance régulière. Elle répond à un double objectif : contribuer à la gestion responsable des déchets dans la zone océan Indien et optimiser le remplissage de nos navires sur le trajet retour vers la métropole. Mayotte y occupe désormais une place de plus en plus importante. Les volumes expédiés depuis l’île ne cessent de croître, soutenus par la montée en puissance des filières locales de collecte et de traitement. Nous observons une évolution semblable à celle qu’avait connue La Réunion il y a quelques années : les installations se structurent, les partenariats avec les opérateurs locaux se renforcent, et la logistique s’organise. Ces chargements représentent une réelle opportunité pour nous. Ils permettent non seulement de valoriser les rotations retour de nos navires, mais aussi d’accompagner concrètement le développement d’une économie circulaire dans la région. C’est un bon exemple de complémentarité entre nos activités commerciales et nos engagements environnementaux.











