Cent ans de savoir-faire, d’expertise et d’engagements. Et cette année encore, la marque centenaire de transformation des fruits innove avec des encas pour toute la famille.



Le savoir-faire de Materne se perpétue dans l’usine de Boué, spécialisée dans la transformation du fruit. Une expertise désormais centenaire, clé du secret de fabrication des produits. Les pommes sont récoltées à maturité et stockées dans des conditions strictes pour une conservation optimale. Elles sont lavées, triées et broyées pour ne tirer que le meilleur des pommes. Les pommes broyées sont cuites pour en faire une compotée. Selon les recettes, la compotée de pommes sera mélangée à d’autres fruits. La pasteurisation des purées de fruits permet la conservation à l’air ambiant des produits qui sont ensuite conditionnés dans les gourdes ou les coupelles.
Materne précurseur du moins sucré
Dès 2005, en phase avec sa démarche de généralisation du snacking sain, Materne s’est engagée à proposer des desserts sans sucre ajouté. Précurseur dans sa catégorie, avec Materne et Pom’Potes, l’entreprise a fait de ce segment sa priorité depuis 2019. Toutes les gourdes et coupelles de fruits des deux marques sont classées Nutri-Score A. Les recettes de la gamme Onctueux Végétal, alternative végétale aux produits laitiers, sont Nutri-Score B. En 2009, Materne a lancé une première offre bio avec Pom’Potes bio. En 2019, c’est le lancement de l’offre bio de Materne. Enfin, en 2021, Materne s’est engagée contre le gaspillage alimentaire auprès de Too Good To Go et a signé le Pacte visant à sensibiliser les Français aux dates de consommation.
Des vergers écoresponsables
L’année 2012 voit Materne prendre l’engagement d’un approvisionnement en pommes d’origine France issues de l’agriculture conventionnelle. En 2021, cet engagement s’est étendu aux gammes certifiées Agriculture Biologique des marques Materne et Pom’Potes. La totalité des pommes non biologiques sont issues des vergers labellisés « Vergers écoresponsables ». Materne travaille en collaboration avec huit agriculteurs partenaires situés dans un rayon de 50 kilomètres autour de l’usine de Boué. Ces vergers permettent de tester des méthodes d’arboriculture plus responsables. Pour en mesurer l’impact, un partenariat avec l’Observatoire agricole de la Biodiversité a été signé en 2016.











