
Avec un nombre estimé de 150 000 influenceurs en France, mais dont 15 % seulement exerceraient cette activité à temps plein, le secteur de l’influence commerciale est aujourd’hui en plein développement, tout en demeurant peu documenté et difficile à 

« Le doute ne doit plus subsister »
Rapporteure pour la commission des affaires économiques, Amel Gacquerre précise qu’« un travail visant à mieux protéger notre santé publique, notre jeunesse, les consommateurs et les épargnants que nous sommes, a été mené. C’est pourquoi nous proposons aussi d’interdire la promotion de l’abstention thérapeutique, des sachets de nicotine ou encore des abonnements à des pronostics de paris sportifs ». Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, « l’un des enjeux de cette proposition de loi est bien de réguler et d’accompagner la structuration d’un secteur d’activité encore récent. C’est pourquoi il est proposé de définir précisément l’activité et les responsabilités de chaque acteur, d’expliciter ce qui est autorisé et ce qui est interdit : le doute ne doit plus subsister ». Amel Gacquerre (Union Centriste – Pas‑de‑Calais) est rapporteure de la proposition de loi visant à encadrer l’influence commerciale et à lutter contre les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux.











