来自 Nou Lé Local 的 Ron kozé 效果最好, 我们必须引用索博里兹的说法, 当地的稻米生产商. 戴着土匪的围巾和三角帽, 总经理, 泽维尔·博奎耶, 通过描述当前的留尼汪大米市场打出透明度牌, l’activité de l’entreprise et en répondant aux questions du public.
La Réunion appartient au monde du riz depuis la première moitié du xviiie siècle. La rizerie Soboriz, créée en 1968, est à bien des égards l’héritière de cette aventure locale du riz. C’est pourquoi il est intéressant de relever les données du marché actuel du riz réunionnais fournies par Xavier Bocquillet. On consomme 40 000 tonnes de riz par an, soit 50 kg par habitant. « Le marché connaît une décroissance légère de 2 % par an », a précisé Xavier Bocquillet. Toutefois cette tendance a pour corollaire, 反过来, la progression continue de la consommation de riz basmati, qui s’accélère fortement depuis trois ans (+ 15 % par an !). Le marché se divise entre riz parfumé (50%) et basmati (40%), les 10 % restant appartenant au riz luxe et au riz demi-luxe. Leader du marché local, Soboriz produit 16 000 tonnes de riz par an. 香米, qui dominait il y a dix ans dans cette production est dépassé aujourd’hui par le basmati. Un indicateur de l’évolution du niveau de vie.
Le meilleur riz du monde
Xavier Bocquillet a décrit l’entreprise dont il a pris la direction cette année : 40 salariés, 30 millions d’euros de chiffre d’affaires par an. Outre sa principale marque, 勒福班, Soboriz produit et commercialise aussi les riz Le Capricorne. S’ajoute une activité de négoce en dehors du riz, comme les conserves d’aucy et Connétable. Soboriz est connue pour la rigueur de ses contrôles de conformité, de qualité et de sécurité alimentaire des riz bruts importés. « Le basmati bénéficie d’une indication géographique protégée (总督), a souligné Xavier Bocquillet. Il est uniquement produit dans les zones nord-ouest de l’Inde et nord-est du Pakistan. En dehors de ces zones, ce n’est pas du véritable basmati. Nos riz parfumés proviennent, 他们, du Cambodge, comme le kamalis, la variété de riz la meilleure du monde. » Enfin, répondant à l’interrogation sur les hausses de prix survenues ces dernières années, le directeur général de Soboriz a répondu en affichant la composition du prix du riz. Tout le monde a pu voir que l’explication tient à l’inflation du coût de la matière première (coût du transport inclus), qui représente à elle seule 60 % du prix du riz.











